Elections sénatoriales 2014 en Sarthe : un résultat sans surprise, si ce n’est pour les écologistes !
Sophie BRINGUY, Alexis BRAUD, Emmanuelle CLEYN, Hervé BOIS, Sylvie GRANGER, et Europe Écologie Les Verts Sarthe remercient les 79 Grandes électrices et Grands électeurs qui ont soutenu la liste « Pour un Sénat qui prépare l’avenir de la France », et ainsi manifesté leur volonté de renforcer l’écologie à la Haute assemblée.
Ce score, largement supérieur aux Grandes électrices et Grands électeurs identifiés comme membres ou sympathisants du parti, atteste de l’ancrage croissant de l’écologie en Sarthe, bien au-delà du cercle partisan.
Cela nous invite à imaginer de nouvelles formes de travail et échanges en réseau, permettant de favoriser mutualisations, partages et synergies, pour développer l’écologie dans nos territoires ruraux, urbains et péri-urbains.
« Au cours du premier semestre 2014, je proposerai une rencontre entre les élus locaux sarthois désireux de renforcer la place de l’écologie dans notre département », déclare Sophie Bringuy.
Le résultat correspond à celui attendu depuis plusieurs semaines. Europe Écologie Les Verts Sarthe souligne l’intérêt du scrutin à la proportionnelle mis en œuvre pour la première fois en Sarthe pour ces élections : il permet une plus juste représentation du corps électoral.
Même si cette fois-ci, la Sarthe ne bénéficiera pas de l’élection d’une sénatrice écologiste, nous serons vigilants au travail des trois élus sarthois et les invitons à porter une attention particulière aux propositions portées par le groupe écologiste au Sénat.
Europe Écologie Les Verts Sarthe, le 28 septembre 2014
OK c’est dur de se faire élire dans la Sarthe et bravo pour votre bon score, mais peut-on se réjouir de ne pas avoir d’élu???
C’est certain qu’on ne se réjouit pas de ne pas avoir avoir ce soir une sénatrice écologiste. Surtout quand on sait que seules 20% de femmes ont été élues aujourd’hui.
Mais on progresse, et ça compte. On ne pensait pas faire 5%. Alors c’est une victoire pour l’écologie, même si modeste.
Ancrer l’écologie sur les territoires, c’est un travail à long terme. Le temps de cette lente infusion n’est pas celui de l’urgence planétaire. On fait au mieux… Et on ne peut pas changer à la place des autres. 😉